Le signal de Moscou
En 1953, l’agence centrale de renseignement américaine, CIA, découvre que l’ambassade des états unis en union soviétique, était irradiée par des microondes, dont la fréquence était entre 2, et 7 GHz, et dont la puissance était entre 18 microwatts, et 4 milliwatts, par centimètre carré, et dont la provenance, était un bâtiment à l’alentour de l’ambassade.
L’irradiation a persisté entre 1953 et 1976, puis elle a repris, pour quelque mois, en 1983.
Les russes ont dénié cela, mais dans tous les cas, le président des états unis Lyndon B. Johnson, demanda, lors du sommet de Glassboro en 1967, au Président du Conseil des ministres de l’URSS, Alexis Kossyguine, que cet acte cesse.
La CIA, a mis plusieurs théories concernant le signal de Moscou, comme il était nommé.
La première était, que c’était un essai d’écoute clandestin sur l’ambassade. C’est qu’en 1952, la CIA a découvert une méthode d’écoute original, que les russes ont mis en place.
Ils ont offert à l’ambassadeur américain William Averell Harriman, lors de la fin de la deuxième guerre mondiale en 1945, un Grand sceau des États-Unis gravé dans du bois, dans lequel il y a un dispositif, permettant de refléter les ondes radio, et l’écho est reçu par un récepteur.
La deuxième était, que c’était un essai de brouillage, des instruments d’écoutes, présents dans l’ambassade.
La troisième était, que c’était peut-être, un essai d’influencer, la santé des travailleurs dans l’ambassade.
En 1965, l’agence pour les projets de recherche avancée de défense, DARPA, a mis en place le projet Pandora, pour étudier les effets des ondes micros.
Des chercheurs ont irradié des singes, par des ondes micros et radios, pour comparer l’effet, sur ceux qui étaient soumis, et non. Richard Cesaro, a conclu que ces ondes peuvent réduire la performance des singes, et a recommandé, que des tests humains soient faites.
Concernant l’humeur et le comportement, Robert O. Becker, a considéré que ce n’était pas possible, en utilisant la technologie du moment, de causer quelqu’un de dormir, juste comme ça, mais que c’était possible de créer un environnement, qui causera des troubles dans le système nerveux, genre anxiété, ou affecter la capacité de prendre une décision.
Une étude faite par l’université Johns-Hopkins en 1978, comparant les employés de l’ambassade des états unis en union soviétique et leurs familles, aux employés et familles des autres ambassades des états unis dans l’Europe de l’est, durant la période 1953–1976, à démontrer qu’il n’y avait aucun effet sur leurs santés.
Une autre étude par l’université George-Washington, a conclu qu’il y avait un taux élevé de mutation de globules blancs, chez les travailleurs de l’ambassade, qui étaient soumis au rayonnement.
Une étude espagnole faite en 2019, fondée sur l’étude entreprise par l’université Johns-Hopkins, à démontrer un taux de mortalité par cancer, plus élevé que la normal, chez les employés de l’ambassade.
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